lundi 23 mars 2009

Facebook stalker?

J’avouais ici mes penchants psychotiques sur Facebook. Et, comme je ne suis pas la seule à être accro, quelqu'un a fini par s'intéresser à ce phénomène.

Elle s'appelle Laura Greene, elle est journaliste, et elle est surtout inquiète d’une possible apparition de « sérieuses dépendances à Facebook ». Après un très rassurant « Maybe you or someone you know has an obvious Facebook addiction. Maybe he/she is a Facebook stalker. », elle définie donc dans un article une classification décroissante des signes avant coureurs de la dépendance. Traduction un peu libre :

10. Vous faites des recherches à partir de prénoms pour retrouver quelqu’un que vous avez rencontré dont vous ne connaissez pas le nom d’après sa photo.

9. Vous recherchez des noms que vous trouvez dans les journaux, juste pour pouvoir mettre un visage sur un nom.

8. Vous êtes déçu quand vous découvrez que vous ne pouvez pas accéder aux informations d’une personne parce qu’elle n’est pas votre ami sur Facebook.

7. Vous vérifiez s’il n’y a personne que vous pourriez ajouter dans les amis de vos amis.

6. Vous rentrez l’adresse mail de vos amis Facebook sur MSN, mais sans jamais leur parler – juste pour lire leurs pseudos.

5. Vous passez un temps précieux à regarder les photos de personnes avec lesquelles vous êtes allé au lycée mais auxquelles vous n’avez pas parlé depuis.

6. Vous vous disputez avec votre petit(e) ami(e) parce qu’il ne veut pas encore se mettre in a relationship.

5. Vous célébrez les étapes de la vie facebookienne : 50 amis, 100, 200...

4. Vous consultez régulièrement la liste des groupes à la mode pour être sûr de ne pas passer à côté de quelque chose.

3. La première chose que vous faites le matin est de regarder vos mails, au cas où quelqu’un vous aurait envoyé un message sur Facebook ou vous aurait ajouté à ses amis pendant la nuit.

2. Vous ressentez une forte frustration quand quelqu’un que vous cherchez n’est pas sur Facebook.

1. Vous vous sentez mal ou tremblez pendant le travail, l’école, ou à n’importe quel moment où vous n’avez pas accès à Facebook.

J’ai donc fait ce test, et, ouf, je ne suis pas une vraie Facebook stalkeuse. Mais peut être que vous si. Alors, pas de panique. Comme le dit Laura, « le premier pas vers la guérison est d’admettre que l’on a un problème ».

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Il y a des chances que j'en soit un... pourtant je ne passe pas tant de temps que ca.. :p